La mobilité partagée réduit-elle les émissions de CO2 ?

Le secteur des transports joue un rôle significatif dans les contributions aux gaz à effet de serre, produisant environ 20 % des émissions directes de CO2 dans le monde en 2023.
Aucune industrie n’embrasse la transformation numérique avec autant d’enthousiasme que l’industrie automobile, en redéfinissant les solutions de mobilité de demain. La Mobilité en tant que Service (MaaS) affirme qu’en utilisant leurs services, ils peuvent réduire les émissions en offrant à leurs utilisateurs une solution de transport facile.
Les solutions de routage prendront en compte tout, des coûts de transport aux conditions de circulation, en passant par la météo, l’état des routes et des véhicules. Cela aidera à trouver une solution de transport porte-à-porte sans aucun retard.
La mobilité partagée via les plateformes de covoiturage est sans aucun doute un puissant logiciel d’intelligence artificielle (IA), déployant de nombreux outils et cadres comme solutions de transport pour ses utilisateurs.
La ville d’Oxford au Royaume-Uni a préparé une feuille de route pour atteindre des émissions nettes de carbone nulles. En soulignant particulièrement les émissions liées au covoiturage, ils espèrent réaliser une réduction de 15 % des émissions d’ici 2025, de 25 % d’ici 2030 et de 30 % d’ici 2040.

Selon une étude de Transport et Environnement, la congestion coûte à l’économie de l’UE 100 milliards de dollars par an, mais le covoiturage présente certains avantages essentiels par rapport à d’autres plateformes de MaaS automobile. Un véhicule partagé est déplacé en moyenne jusqu’à cinq fois plus souvent qu’une voiture privée, mais une voiture partagée remplace jusqu’à 20 voitures privées, contribuant ainsi à réduire la congestion dans les espaces urbains. Une autre étude de l’Agence fédérale de l’environnement en Allemagne révèle que 6 millions de tonnes d’émissions de CO2, soit 4 % des émissions de transport en Allemagne, peuvent être réduites grâce aux systèmes de covoiturage.

En conséquence, en remplaçant jusqu’à 20 voitures privées par 1 voiture partagée, 9 places de stationnement pour chaque voiture partagée peuvent être ajoutées dans les espaces urbains.
En attendant, la FEB, le porte-parole des entreprises belges engagées en faveur d’un environnement entrepreneurial et d’investissement optimal, a déclaré que 50 % des employés ont admis rencontrer des problèmes liés à la mobilité. C’est pourquoi leurs experts insistent sur l’utilisation de la mobilité partagée comme solution. Selon l’Institut Mineta, le covoiturage pourrait également réduire la congestion routière de moitié, améliorant ainsi les impacts environnementaux.
En tant que première plateforme de location de voitures dans les Balkans, Rentout, combinant des services de location de voitures, de covoiturage et de partage de voitures en Albanie, au Kosovo, en Macédoine du Nord et au Monténégro, contribuera clairement à réduire la congestion routière et à offrir des transports à bas prix tout en améliorant en même temps les impacts environnementaux.

Concernant la mobilité future, McKinsey indique que près de 55 % des propriétaires de véhicules de la génération Z sont enclins à partager leur véhicule avec d’autres en remettant en question la nécessité de posséder une voiture.
Notre voiture est un deuxième salon pour nous tous, et nous veillerons à vous rendre votre bien dans le même état que vous nous l’avez confié, en mettant en œuvre quatre éléments importants. Notre assurance couvre trois parties : le client, l’hôte et le véhicule lui-même. 2. Un système basé sur une caméra qui vérifie le véhicule avant et après son utilisation. 3. L’utilisation des services de télématique et de GPS avec des politiques strictes de protection des données. 4. Les clients et les hôtes recevront une note à travers des avis.


Ensemble, nous allons amener le covoiturage et le partage de voitures à un nouveau niveau dans les Balkans.

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